Le plaisancier avertis à l’obligation de protéger son bateau durant les plus drastiques de de l’année. Cela lui permettra d’être à l’abri des intempéries brutales, des conséquences de l’humidité etc. Ces risques peuvent être évités grâce à plusieurs formules dont le gardiennage bateaux Porto à flot et l’hivernage. Cet article vous amène à la découverte de ces formules.
Que savoir sur l’hivernage ?
L’hivernage peut être défini comme un contrat complexe composé de diverses prestations. Au nombre de ces prestations on a la vidange du moteur, la réparation bateau Porto, le nettoyage de la coque, la manutention du bateau pour le rendre sec, l’installation d’un taud ou d’une bâche si le bateau reste dehors sur ber. On a également le débranchement des batteries et stockage extérieur, la vérification du bon fonctionnement du moteur et la remise à l’eau. En effet, tout chantier qui signe l’hivernage avec un plaisancier a l’obligation d’assumer certains devoirs envers ce dernier. Ceci étant, en cas de sinistre, le plaisancier peut compter sur le rapport de l’expert de sa compagnie. Car il est assuré.
Chute de bateaux
Les voilés mal positionnés par rapport au vent dominant ou placés sur des bers déficients chutent parfois à terre ou font tomber d’autres navires en cas d’événement climatique (comme un très fort mistral dans le sud de la France). Cela peut remettre en cause la responsabilité du chantier responsable du placement du bateau sur ber. Plusieurs chantiers ont été déjà condamnés par les la Cour d’Appel d’Aix en Provence et celle de Montpellier en cas de ce type sinistre.
Le gardiennage à flot
Le gardiennage à flot ou à quai a pris de l’ampleur dans certains ports de Méditerranée ou des Antilles. L’entreprise de gardiennage vérifie de façon régulière les pare-battages, l’amarrage, l’accès au bateau. De même, elle aère le bateau, assure la vérification des batteries, les pompes et prépare le bateau en cas d’alerte du plaisancier annonçant sa venue. À cette formule de gardiennage à flot s’ajoute celle du carénage. Avec cette seconde formule la société n’aura pas d’obligation de résultat, mais elle peut être tenue comme responsable en cas de dégâts d’un bateau qui rompt ses amarres lors de gros temps si elle ne modifie pas ou ne renforce pas l’amarrage.
Bien lire le contrat
Tout plaisancier doit bien lire les termes du contrat qui lui est proposé, avant de s’engager. Même après les réformes successives, le principe selon lequel « Les contrats légalement formés tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits » est toujours proclamé par l’article 1103 du Code Civil.